En 1972, la brasserie réussit à obtenir un riz poli à 60%, du jamais-vu à l’époque, et commercialise pour la première fois ce qu’on appellera plus tard du saké Junmai Ginjo, nom devenu célèbre dans tout le pays.
Les sakés de la brasserie Kamoizumi ne subissent pas de filtration au charbon (méthode roka), ce qui leur permet de conserver une acidité plus marquée. On obtient ainsi des sakés ayant du corps et des arômes riches et profonds.
Afin de promouvoir la production de riz local et d’améliorer le statut des producteurs de riz, la brasserie a entrepris divers initiatives, telles que le passage de commande de riz Yamadanishiki aux agriculteurs de la région.